Intramuros, Juillet 2012
Frédérique Martin a planté une verveine. Cueillez et laissez infuser pour un pur moment de lecture bonheur. Michel Dargel.
Frédérique Martin a planté une verveine. Cueillez et laissez infuser pour un pur moment de lecture bonheur. Michel Dargel.
Un roman sur les rapports familiaux et la vieillesse. Actuel et bien écrit.
Un roman qui touche, surprend et questionne. Entretien avec Frédérique Martin, qui s'est interrogée avec nous sur la famille et ses enjeux.
C'est une chronique du manque et de la douleur à laquelle s'est attachée Frédérique Martin dans ce bouleversant roman épistolaire. François Perrin.
Quand les masques tombent. Cruel et envoûtant... Eglantine Gabaix-Hialé
Attention, ce livre, aux abords doux et sensibles, (scandé de « ma très chère femme, mon cher mari ») presque émouvant, est sans pitié, sans concession. Il vous glace, au final, malmène allègrement vos idéaux de famille modèle, crée le malaise, dérange profondément, pénètre vos entrailles au plus vif, vous fait mal car d'une justesse effroyable, percutante. Ce livre commotionne, il livre une réalité peu harmonieuse, difficile à affronter, violente mais sans doute pas si éloignée de nos histoires personnelles.
L'auteure offre un roman subtil sur l'amour conjugal. Elle en célèbre la constance et en explore aussi les limites.
...mais ne vous attendez pas à de suaves sentiments !
Frédérique Martin a l’art de jouer avec nos coeurs, comme avec des yoyos : son écriture sait atteindre là où cela fait très mal, atrocement même, à en gémir lors de la lecture, elle sait aussi se montrer douce et tendre. Loin d’être un monde manichéen, cette écriture est source de vie, les mots palpitent et nous envoient très loin...
Frédérique Martin nous parle de courage, de force, de quotidien incertain, des violences banalisées, et d'espoir, d'entraide, d'amitié, dans ce groupe de co-locataires (et leur vieux voisin) un peu bancal, aux sentiments qui se percutent, se taisent ou se subissent...