Dans le cadre de la 28ème quinzaine littéraire organisée par l’Atelier Imaginaire, de nombreuses représentations sont prévues entre Lourdes et Tarbes qui regroupent acteurs, lecteurs, écrivains et musiciens. Vous en trouverez le programme complet ici.
A cette occasion, mon complice Christophe Haunold et moi-même donnerons en avant première la lecture musicale que nous avons montée autour de mon dernier roman Le vase où meurt cette verveine. Pour ce spectacle, j’ai eu le plaisir et le privilège de travailler avec le comédien Roger Borlant qui me prête sa voix pour interpréter Joseph en off. Une contribution exceptionnelle, des musiques originales, joie et trac mêlés, c’est une nouvelle aventure qui commence.
LECTURE MUSICALE
LE VASE Où MEURT CETTE VERVEINE
Le lundi 29 octobre à 17H30
En avant-première
Salle de conférences – 2ème étage – 6 rue Gaston Manent à Tarbes
Parce que leurs enfants ne peuvent les héberger ensemble lorsque Zika doit se faire soigner le cœur, Joseph et elle se retrouvent séparés après plus de cinquante-six années de vie commune. Lui est accueilli chez leur fils Gauthier à Montfort, elle chez leur fille Isabelle à Paris. Commence alors entre eux une relation épistolaire qui voit s’éloigner la perspective de leurs retrouvailles et se déliter leur univers.
Voix : Frédérique MARTIN
Voix Off : Roger BORLANT
Piano : Christophe HAUNOLD
« Toutes mes pensées sont avec toi, tendues vers ce jour béni de nos retrouvailles. Je t’appellerai pour ton anniversaire, pour le plaisir d’entendre ta voix et les mots d’amour de mon amant de soixante-dix-huit ans. »
Une lecture tour à tour grave, émouvante et drôle entre deux vieux amants qui refusent d’être dépossédés de leur vie, deux êtres forts qui s’interrogent.
Accompagnée par la librairie le vent des mots, je rencontrerai le public pour une séance de dédicaces à la fin de la représentation. L’entrée est libre, comme l’intégralité des expositions, séances et spectacles de cette manifestation, dans la limite des places disponibles.
Je rappelle que l’Atelier Imaginaire, présidé par Guy Rouquet, organisait le prix Prométhée de la nouvelle que j’ai remporté en 2004 et le prix Max Pol Foucher de la poésie. Je n’ai pas participé au projet Le livre d’où je viens, qui sera présenté le 28 octobre à 10h30 au palais des congrès à Lourdes, mais il s’agit quand même en quelque sorte d’un retour aux sources pour moi, puisque L’écharde du silence fut mon premier livre en solo et le point de départ de mes autres publications. Le jour de la remise du prix, j’avais concocté un petit discours qui se concluait ainsi : « J’ai choisi d’en terminer par ce travers commun aux écrivains et qui consiste à emprunter la parole d’un autre. Je citerai Guy Rouquet, dans le texte : Voilà, tout arrive. »
Il faut croire que oui.
La presse en parle : La Nouvelle République des Pyrénées
Bonjour Frédérique,
Le roman épistolaire tant attendu est enfin arrivé. Tout d’abord mes félicitations pour la texture (rigidité-souple de la couverture), pour le grain et la couleur du papier ainsi que la police de caractères; un livre que l’on a vraiment plaisir à manipuler. Bien entendu, j’ai commencé ma lecture. Cet échange confine à accélérer le rythme, mais je le ralentis volontairement (et le mot « volonté » prend ici toute sa force !).
La lecture musicale à deux voix sera, à n’en pas douter, un grand moment. Les tarbais ont vraiment de la chance quoique Pau n’est pas si éloigné que ça… réflexion! Peut-être une dédicace comme cerise sur le gâteau ?
Autre réflexion, ça mériterait amplement un audiolivre ?!?
Pour finir comme on écrit en langage épistolaire 2.0 : Bizz !
Merci Didier de ralentir le rythme. Je transmettrai votre satisfaction de lecteur aux éditions Belfond. Pau est à côté de Tarbes, ce serait dommage de vous en priver d’autant que je ne sais pas quand je reviendrai dans votre belle ville.
Un baiser épistolaire à toi, chère Fredaime. (Je sors enfin la tête de ma taupinière, et je vais commander ton livre.) Bravo pour tout. 😉
Apéro téléphonique en vue ma Sophie ?
Un peu loin pour moi mais j’attends impatiemment la vidéo.
Quelle vidéo Juliette ?
A lundi, chère Frédérique. J’ai fait circuler l’information…
Un audiolivre, une vidéo … mais qu’ont-ils tous ? Comme si un beau et bon livre papier ne suffisait pas ! lol
A lundi Michèle et merci beaucoup.
@ Fredaime : quand tu veux ! 😉