Frédérique Martin construit une partition orchestrale. Au fil des pages, elle déploie toute une gamme de registres de langue, de l’humour à la dérision, de la cocasserie à l’ironie féroce, du trivial au poétique, du tragique à l’épique, en passant par le fantastique. Son texte est scandé par des poèmes en italiques, des images, des métaphores filées.