Un roman fait pour le cinéma
Ce rythme rapide, on le perçoit aussi dans les allers-retours entre les personnages qui se lisent comme des séquences cinématographiques. Si l’auteur se défend d’avoir écrit son livre pour le grand écran, on y retrouve pourtant une dimension visuelle très importante et le mot « travelling » à la fin du récit. Alors si toi tu as une caméra et envie de mettre les mots de Frédérique en boîte, rends-toi à la fin de l’article pour la contacter (elle en crève d’envie elle ne serait pas contre).