Visuel ectures publiques

LA VOIX EST UNE ARME

Dans le cadre d’une déclinaison transmédia de mon recueil de nouvelles, je vous propose une formule originale et légère convenant aux médiathèques, aux lycées, aux librairies, aux festivals et autres lieux culturels.

« Nous avons toutes et tous, une voix singulière qui demande à s’exprimer. Pourtant, les mots s’échappent souvent à tort et à travers. Ecrire offre le recul nécessaire pour les transformer en parole juste. Rejoignons-nous pour échanger sur la puissance des mots et la vitalité du silence. Si vous le souhaitez, venez avec un bref extrait que vous pourrez partager, des paroles que l’on vous a dites ou que vous avez lu, mais qui vous ont marqué durablement. »

Première partie : DU TEXTE A L’IMAGE

L’intervention débute par la lecture d’une nouvelle, Le désespoir des roses, premier texte du recueil  J’envisage de te vendre (j’y pense de plus) : Un fils vend sa mère dans une brocante « 1500 € fauteuil compris » ! – (Éditions Belfond 2016)

Cette lecture est suivie (ou précédée) de la projection du court-métrage éponyme, une fiction du réalisateur Hugo Moreau dans laquelle je joue à la fois le rôle du fils et de la mère.

 

J'envisage de te vendreDeuxième partie : DU TEXTE AU DÉBAT

En prenant appui sur la fiction, j’engage un débat avec le public assorti d’extraits  des nouvelles et/ou de mini-dispositifs visant à libérer la parole. Les sujets abordés dans ce recueil : La société de consommation, l’euthanasie, la justice populaire, le féminicide, les jeux, la téléréalité, la pénurie d’eau, l’emprise des religions, la sélection génétique…

Le recueil :  

 « … J’envisage de te vendre est toujours givré, souvent grinçant, parfois glaçant. Il y a du Woody Allen en Frédérique Martin, mais un Woody Allen égaré dans l’univers d’un Cronenberg ou dans celui d’un David Lynch. Bref, du cinéma qui fait rire, mais jaune. »

Le Matricule des anges

Note de l’éditeur : Tu vas reconnaître les papiers peints, les rues pavillonnaires et les temples d’achat, ta campagne bucolique et ton quotidien. Ta femme, ton mari, ta mère ne sont pas loin ; tout te semblera familier. Oui, ça se passe près de chez toi, mais les choses ont mal tourné. On peut désormais te séquestrer, te forcer à jouer, orienter tes choix ou décider à ta place. On peut aussi envisager de te vendre. Mais pas que. Tu aimes te faire peur pourvu qu’à la fin tout se termine bien ? Tu verras, on en a tenu compte.

De quoi demain sera-t-il fait ? En déréglant les curseurs de notre société, Frédérique Martin convoque le règne des indignités ordinaires et flanque nos libertés au vestiaire. Voici venir le grand show des luttes de classes et de sexe, des dominations ou de la logique marchande, dans un recueil pure malt, sec et bien tassé.

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