Je ne pouvais pas réagir à la vidéo qu’a postée REVOL dans les commentaires de mon dernier billet  Frères humains , par une simple phrase. Un film, comme un livre, est

  Frères humains qui après nous vivez N’ayez les cœurs contre nous endurcis, Car, se pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tost de vous merciz. Vous nous

  Dans ma panoplie d’auteur, il manquait un élément primordial, l’équivalent de la cape pour un super héros ou de la baguette magique pour une fée du logis, l’accessoire de

Chiures de pluie sur la vitre. La dentelle des arbres brise le ciel gris. Dans l’œil crépusculaire du chat, les heures rongent l’attente d’une consolation qui s’effrite, tandis qu’au dehors

  Pour laisser derrière soi l’inéluctable Pour garder devant soi le possible Pour bâillonner la peur Pour grandir Parce que c’est nécessaire Parce que c’est inévitable Pour vivre jusqu’au bout

  C’était un temps où les femmes croyaient encore aux hommes je ne renoncerai plus à toi je reviendrai n’étaient pas de vains mots. Par amour, les chasseurs devenaient guerriers

  Urgences, 5h00, un dimanche. – Vous êtes bien diabétique ? – Ah… non. – On vous a pas opérée du sein non plus ? – Pas… que je… sache

  Elle scrutait la rue à travers la vitrine, bouche entrouverte. Une mèche bouclait derrière son oreille et venait se lover dans son cou, dérobant les palpitations bleutées d’une veine.

  Jusqu’à récemment, le pauvre poubellisait peinard, quand on a décidé de le taxer pour son bien et celui de la collectivité – 38 euros chaque fois qu’on le surprendra

  Je débute aujourd’hui les ateliers d’écriture pour le Crous de Toulouse en direction des étudiants qui résident dans la cité universitaire de Toulouse Rangueil. J’en profite pour partager avec

  Pour fêter le mois d’octobre comme il se doit, j’ai le privilège de recevoir Francesco Pittau pour un nouveau vase communicant, pendant que j’irai m’exposer chez lui comme une

… Il parait que c’est l’automne. Hier j’ai brûlé des monceaux de feuilles, l’air était doux, le chaton se jetait dans le tas craquant pour se donner des frayeurs sans

  – Mais vous savez, dit la femme en repoussant ses mèches blondes, le môme, il est pas à moi. Non, je l’héberge pour les vacances, à cause que sa

  Des petites pommes jaunes jonchaient la route. Juliette s’arrêta pour en ramasser une, de la taille d’un œuf, provoquant par ce geste le persiflage des merlots. Elle l’essuya contre

    Elle s’est avancée vers la table, le plateau en équilibre, à plat sur ses deux paumes. Le teint mat, un bandeau bleu clair comme on n’en voit plus depuis

  Il est temps de dire au revoir à nos amis Tunisiens. Le mois de juin s’achève et je ne voudrais pas être la cause d’une ruée touristique d’une ampleur