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Conquise, une fois de plus. La langue surprend, souvent dure, parfois âpre, toujours vraie. Les mots égratignent, soignent aussi
Conquise, une fois de plus. La langue surprend, souvent dure, parfois âpre, toujours vraie. Les mots égratignent, soignent aussi
Voici un roman qui chante l'amitié et l'amour d'une bande de jeunes amis colocataires. Dans une société où la précarité, la violence, l’indifférence peuvent mener au pire, le respect, la tendresse et la solidarité qu'ils s'évertuent à préserver auront le dernier mot.
Un trio qui devient un quartet qui devient un quintet qui fait une symphonie et qui redevient un quartet qui fait un requiem. Sauf quand on les aime est un chant qui va vous ravir.
On adore tout autant que son superbe roman épistolaire "Le vase où meurt cette verveine" sorti en poche.
Il y a dans l'écriture de Frédérique Martin à la fois de la douleur, de la hargne, mais aussi de la douceur, de la tendresse, de la délicatesse. Elle donne…
une histoire bouleversante, qui explore les thèmes de l'amitié, la solidarité, et aussi la violence de la société contemporaine
Elle nous livre un récit vif, amusant, toujours tendre, souvent poignant, parfois insoutenable comme la vie peut l'être souvent.
...une plume très belle qui sait faire alterner douceur et poésie (il y a de très jolis petits passages descriptifs) avec des mots et un rythme d’une grande puissance.
Une nouvelle fois, le style alerte et vivant, la précision narrative de l'auteure impressionnent, et font de ce livre une excellente réussite. Les dialogues, une des forces de Frédérique Martin, sont aux petits oignons... Yves Gabay.
C'est beau. On a envie d'y croire aussi. Et c'est tout !