Ce dimanche 13 septembre 2009, on l’a déjà vu dans la rubrique actualités de ce site, je suis à Lauzerte avec quelques compagnons. Nous y partagerons le goût de la nouvelle et un certain nombre de vices plus ou moins cachés ( le roman, le théâtre, l’essai, le vin, les chants tonitruants, le tango, le vin – Ah bon, je l’ai déjà dit ? – …). Dans l’après-midi, je donnerai une lecture à la médiathèque. L’heure de mon passage reste gardée au coffre comme un secret d’état, il faut se rendre sur place pour la découvrir !
Nous, les auteurs, arriverons la veille au soir, nuitamment, dissimulés par des chapeaux mous et des lunettes de soleil taille XXL. A l’entrée du Café du commerce permettant d’accéder au concile des 24, René nous attendra en plissant les yeux. A ce signal, nous devrons extraire de nos poches un entonnoir rouge comme une révolution et clamer : » Qu’on perce les tonneaux! « . S’ensuivront embrassades et libations au cours desquelles nous nous transmettrons avec allégresse le virus de la grippe A.
Nous séquestrerons le coq avant de regagner nos pénates sans omettre de tambouriner aux portes de ceux qui auront choisi de fréquenter les poules. Nos réveils seront difficiles, nous petit-déjeunerons en sombreros et masques de ski, nous louerons des sourires ultra brite. Puis nous nous nous rendrons derrière nos tables où nous dédicacerons moult ouvrages aux foules en furie, sans oublier de ripailler fréquemment.
Voilà ce qui attend le lecteur impétrant à Lauzerte. En cas d’hésitation, qu’il consulte donc l’intégralité du programme, c’est Le rendez-vous incontournable de la rentrée. La journée se clôturera par la remise du prix de la Nouvelle du Scribe, la fameuse librairie de Montauban tenue par le truculent Jacques Griffault.
Est-il besoin de préciser que les places seront chères, les auteurs sollicités, les livres en rupture de stock ? Vous ne voudriez pas manquer de bouquins, à la veille d’une crise sans précédent, terrassés par la pandémie et ruinés par la taxe carbone ? Alors c’est entendu, venez jacasser, rire et profiter avec nous avant qu’on y pose le mot fin. Lecture et bonne humeur seront mises à bouillir, c’est la seule contagion qui soit encore garantie.
Rhaaaaaaaa Juliette ! Je t’aime ! Quant à toi Frédaime, à dimanche, donc.
@ Anna : Tu ne pourras pas dire que je ne t’aurais pas prévenue.
C’est toi la guest star du clip, Anna?
Bon dimanche à Lauzerte. Dommage que ce soit un tantinet loin de chez moi.
Peut-être irai-je un jour vers chez vous, enfantissages. Mes actualités vous diront où mes pas me mènent.
Puissent-ils vous mener en Bretagne, alors. Je quitte la capitale pour la campagne dans à peine quelques semaines.
Je suis déjà allée en Bretagne il y a plus d’un an. Je ne vois pas pourquoi je n’y retournerais pas.
Tout est bien et bon ici : notre « hôtesse », les commentateurs (trices), le festival en question – en tout cas son programme -, et la grande Juliette.
Ah! Que cela est tentant! Mais voilà, je n’irai pas cette année. Boulot boulet. Bonnes retrouvailles les filles
Frédérique, j’attends vos vices les plus cachés. Fallait bien que je me dévoue pour la sortir celle-ci. Mais enfin, je regrette d’être si loin, et si proche, de vous – tous.
Bouh. Pas pu venir, finalement. Pourtant, c’était au programme…
Justement Zoé, nous nous sommes demandées si nous allions vous y voir.
Quels vices cachés, Depluloin! Je suis un modèle, je n’ai absolument aucun vices, ce sont les autres qui…
Vous avez raté quelque chose Morena, c’était trés bien. La prochaine fois peut-être ?
Alors Christophe, avez-vous pensé à pêcher mes mails dans vos indésirables ?
Tissu de calembredaines que tout cela ! Lauzerte, ce n’est pas ce que raconte cette jeune écervelée. Voici MON compte-rendu officiel, tel qu’il devrait paraître sur MOT COMPTE DOUBLE si l’interface belliqueuse veut bien signer l’armistice :
http://motcomptedouble.blog.lemonde.fr/2009/09/14/lauzerte-2009-enfin-un-compte-rendu-veridique/
A bientôt, Frédérique !
Françoise Guérin, tu es une fieffée menteuse ! Que la honte te patafiolle.
C’est joli comme mot, « patafiolle » ! C’est peut-être ce qu’on aurait dû dire à René, samedi soir : non, René ! Patafiole ! En même temps, on aurait loupé quelque chose ! L’émoustilleur, ça porte bien son nom, je trouve. Il me reste à découvrir le Tariquet… Pas de doute, va falloir rejouer…
Le Tariquet, c’est pas pour les tafiolle, ah ah… je n’ai pas pu résister 😉
Gilles, tu sors immédiatement et tu reviens quand tu auras fini de te foutre de notre fiole !
Magnifique programme, dommage que ce soit si loin de chez moi !
Oui Lise, et ce qui est encore plus dommage – nous les auteurs, on ne s’en remet pas- c’est que ce soit déjà fini :0). Contente de vous rencontrer.
C’est en suivant le lien chez Kouki que j’arrive sur votre blog, Frédérique, et je reviendrai, c’est sûr. Finalement, nous allons former un grand collier de gens-de-mots, n’est ce pas merveilleux ? Vive le Web
Bienvenue Lise.